The songs in my heart #10

17.02.2010

Lover Lover Lover
J’ai redécouvert ce titre lors d’un concert à Mains d’Œuvres. David Herman Düne, qui jouait en première partie de Will Oldham, en a fait une version seul à la guitare très belle, très simple.
Cette fois-là, comme toujours, je n’ai vraiment entendu que le premier couplet du texte, en le détachant complètement de sa dimension religieuse. Juste une histoire de famille, un geste de détachement radical et une réponse vaine même si elle est sincère. Après je n’écoute plus ce que dit Cohen, je me laisse prendre par la danse minimaliste des instruments, le rythme en creux de la chanson, et les souvenirs.

Sweeties #4

14.02.2010

Troisième version du site, cette fois-ci avec un vrai nom de domaine qui va bien. Il n’y aura pas que des mix, un peu plus de textes sans doute, et encore des aménagements à prévoir.

On attaque gentiment avec des douceurs qui se réchauffent progressivement et finissent par Air Waves, dont le concert hier en première partie de Real Estate annonçait le premier rayon de soleil parisien depuis des lustres. J’ai gardé le sourire du début à la fin, ravi de les voir, un peu en catimini, pour leur première apparition parisienne.

download > STARSKY #01

The songs in my heart #9

09.02.2010

Le courage des oiseaux
Là tout de suite, c’est pour le vent glacé. Mais il n’y a pas que ça. Le soir à la maison les enfants s’endorment avec une chanson qu’on leur chante. Quand Émilie a découvert celle-ci, elle a été comme hypnotisée. Le lendemain, elle nous a demandé d’en écrire les paroles sur l’ordinateur dans un petit rectangle et d’en copier plusieurs sur une même page qu’il a fallu ensuite imprimer et qu’elle a découpée. Dans la semaine qui a suivi, elle en a donné un exemplaire à ses amis les plus proches, comme un cadeau précieux.

The songs in my heart #8

08.02.2010

La la means I love you
Alton Ellis c’est un soleil doux permanent sur la peau. C’est ce moment magique en Jamaïque où le ska de la fin des années 50, qui sent encore un peu trop le jazz, se ralentit, se décale. Mais où le reggae n’est pas encore là. Le rocksteady, c’est le nom de cette soul légère et enfantine. Alton en est le roi.

The songs in my heart #7

05.02.2010

I was made to love magic
Un morceau parfait. Peut-être un peu dépressif, mais on s’en fout.

The songs in my heart #6

03.02.2010

The drum
Celle-ci est magique, elle marche à tous les coups. Une chanson pour se réveiller tôt, un jour de soleil, avec éventuellement de quoi fumer.

Mary Jane’s Merry Fucking Christmas

01.02.2010

En décembre, Mary Jane a fait un calendrier de l’Avent sur Facebook avec des morceaux dédiés à ceux qui n’aiment pas Noël. Pour qu’une si belle compilation ne disparaisse pas dans les limbes de l’Interwebs, la voici, presque complète, chez Starsky.
Enjoy.

The Beach Boys – Blue Christmas
Jacob Miller – Wish you a merry christmas
The Crystals – Santa Claus is coming to town
Rudolph & The Gang – Here Comes Fatty Clause
Elvis Presley – Blue Christmas
John and Yoko – Happy Christmas (War Is Over)
Jon Spencer – My Christmas Wish
Jackson 5 – Santa Claus Is Coming to Town (Malheuresement pas l’a cappela)
The Ramones – Merry Christmas (I Don t Want To Fight Tonight)
Otis Redding – White Christmas
Stevie Wonder- Someday At Christmas
Destiny’s Child – 8 days of christmas
GG Allin – X mas song
RUN DMC – Christmas in Hollis
Akim & The Teddy Vann Production Company – Santa Claus is a Black Man
Roy Orbison – Pretty Paper
South Park – Mr. Hankey The Christmas Poo
Eartha Kitt – Santa Baby
Joni Mitchell – River
Snoop Dogg – Santa Claus Goes Straight To The Ghetto
Dean Martin – Let it Snow
Jackson 5 – Someday At Christmas
Eazy E – Merry Mutafuckin’ Xmas
Big Dee & Little Eva – I Wish You a Merry Christmas
Soul Saints – Santa’s got a Bag of Soul
Jan and Dean – Frosty The Snowman
The Supremes – Children’s Christmas Song

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Et en bonus, le dernier titre : une vidéo du grand Dogbowl

The songs in my heart #5

01.02.2010

I see a darkness
Un peu compliqué de parler de celle-ci. Un de mes nombreux attachements à quelqu’un qui m’a laissé tout seul sans même voir l’an 2000. My best unbeaten brother de l’époque. Qui n’a pas été sauvé d’une noirceur que je n’avais pas su voir.
Bientôt 10 ans. Pas un jour sans lui depuis.